Tatouage, coquetterie indélébile

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Tatouage, coquetterie indélébile

30 avril 2003
Si le piercing est aujourd’hui le dernier ornement à la mode, le tatouage n’est pas aussi répandu
On ne se décide pas sur un coup de tête pour se lancer dans l’aventure. Après une année de réflexion, Sébastien a choisi de se faire dessiner un lion et raconte : « Je ne me suis pas fait tatouer pour suivre un phénomène de mode, j’ai franchi le pas à la suite d’une réflexion personnelle. Je voulais me tatouer cet animal car il me passionne et me fascine».

Autrefois, le tatouage remplissait une fonction de rejet et mettait les prisonniers au ban de la société. On allait dans certains cas jusqu’à tatouer leurs délits sur le front. Mais il pouvait aussi être l’appartenance à une élite. Les tatouages des princes, notamment à la cour danoise, illustraient leurs exploits.