Les rencontres en présentiel étant encore fortement limitées, les délégués au Synode de l’Eglise réformée neuchâteloise se rencontreront à nouveau de manière virtuelle afin de traiter les dossiers qui ne peuvent attendre. Plusieurs points ont été repoussés pour favoriser une meilleure qualité de la discussion.

Début juin, le Synode devra élire deux membres ministres au Conseil synodal. Si la majorité absolue ne devait pas être atteinte, un deuxième tour est prévu le 9 juin. Lors de cette session, les délégués pourront prendre note du rapport d’activité 2020, qui montre l’impact de la pandémie sur les activités de l’EREN. Ils pourront valider les comptes qui semblent équilibrés, le déficit prévu au budget ayant été réduit par l’annulation de nombreuses activités due à la Covid. Plusieurs rapports figurent également à l’ordre du jour. Celui sur les conditions d’emploi des membres du Conseil synodal clarifie les conditions et introduit les procédures de démission et de révocation. Le rapport intermédiaire sur l’avenir du Service de formation décrit la direction que souhaite prendre le Conseil synodal dans ce dossier qui est soumis au Synode afin de valider un processus de mutation du service. Le rapport sur les conditions-cadres du tableau des postes et de la plate-forme recherche et développement propose de ne pas modifier le tableau des postes jusqu’en 2024 et revient sur les buts de la plate-forme recherche et développement qui devrait permettre de dynamiser la mise en place de projets particuliers.

Les discussions sur les rapports touchants le processus EREN2023 sont reportées à la session extraordinaire du 25 août prochain. Le culte d’installation du président du Conseil synodal Yves Bourquin, des nouveaux membres du Conseil synodal, tout comme les adieux aux anciens conseillers synodaux et à l’ancien président Christian Miaz devrait avoir lieu à l’issue de cette session. La discussion sur le rapport de bénédiction d’un couple marié civilement est reporté au Synode de décembre avec un statut prioritaire