Le motif de ce courroux ? La diffusion sur Internet par l’Eglise anglicane d’un message considéré comme critique à l’encontre de la politique de l’Etat hébreux.

Dans ce message, l’archevêque Michael Peers estimait que si " la violence actuelle en Palestine a des racines profondes, l’occupation par Israël des territoires palestiniens au mépris des résolutions des Nations Unies est au cœur du problème ". En annonçant la décision du Congrès juif de suspendre ses relations avec les organismes d’Eglises, son président a reproché à la déclaration anglicane de porter une " accusation partiale contre Israël, en oubliant que l’autorité palestinienne, corrompue et despote, est aussi responsable de la misère de son peuple. "